Dansune étude de The House of Gaunt : Lord Voldemort Originsrs 2016 évaluant «l’impact de la lecture de film en continu sur un DVD traditionnel MovieRental», il a été constaté que les répondants n’achetaient pas des films sur DVD aRegarder The House of Gaunt : Lord Voldemort Originssi gros que le mien, voire jaThe House of Gaunt : Lord Voldemort Originsis, comme la
Publishedin 1905, The House of Mirth offers a blistering social commentary on the lifestyles and behavior of super-rich society. Having grown up in this society, Wharton evaluates it here as an insider, and her trenchant observations give this early novel a liveliness and verisimilitude not characteristic of "aristocratic" novels written by outsiders.
Andrightly so, says MoMA’s Department of Film curator Josh Siegel. “It’s always important to honor the way a film looked when it was released theatrically,” Siegel says. “When we
Bycontrast, as Dr House, the gaunt, misanthropic, cane-wielding Laurie resembles Rochester in Jane Eyre, the kind of brooding crumpet who drives straight women and gay men wild with desire (I'd
Withthat caveat, let's look at 15 of the absolute best. 15. Love, Death & Robots. Netflix. As creators Tim Miller and David Fincher told IGN, they had originally intended to make a
Watchthe full length movie of The House of Gaunt: Lord Voldemort Origins online 1,5 Mbps speed you need. Title : The House of Gaunt: Lord Voldemort Origins (2021) Release date: November 25, 2021 (USA) Director: Joel Crawford Film series: The Croods Producer: Mark Swift Screenplay: Kevin Hageman, Dan Hageman, Bob Logan, Paul Fisher
Fivestars for Robert Pattinson and Willem Dafoe in The Lighthouse, a film in which “there is nowhere the story won’t go and nothing the actors won’t do”.
THEHOUSE THAT JACK BUILT (Lars von Trier). 161 minutes. Streaming on iTunes on Friday (December 14). Rating: N At this point, it just feels like Lars von Trier is
TheGaunts House Summer Gathering is a beautiful, inspiring, fun event for all ages. This page is here to give you a good idea of what to expect when you come, and to remind you of good times if you have been before. If you would like to volunteer this year please email Michelle: welcome@ Summer Gathering 2012 Presents ExperiEssencE (9th-12th
Sevenpeople might have murdered Eric Crowther, the mysterious recluse who lived in the gaunt house whose shadow fell across the White Cottage. Seven people had good cause. It was not lack of evidence that sent Detective Chief Inspector Challenor and his son Jerry half across Europe to unravel a chaos of clues.
trt6. Après quatre ans de rebondissements et une mise en ligne repoussée de plusieurs mois en raison de la pandémie, le fanfilm The House of Gaunt est disponible depuis le 15 septembre 2021 sur Viméo et ce pour une période de deux mois. Un mode de diffusion limité, contraint par la nouvelle politique de Warner Bros concernant les fanfilms, dont d’autres projets ont déjà fait les frais. Avec son budget de 60 000 €, financé grâce à trois campagnes de crowdfunding, il a le mérite d’être ambitieux et s’inscrit dans la liste des fanfilms les plus onéreux. La Gazette a pu participer à la dernière avant-première avant sa mise en ligne et vous livre sa critique. Attention, spoilers ! Cliquez ICI pour visionner le film, jusqu’au 17 les sous-titres en cliquant sur cc » en bas de la vidéo. Entre adaptation et prises de libertés Marjolaine Le fanfilm se compose de deux parties bien distinctes, ponctuées par deux grandes scènes de duels magiques. Ces deux parties couvrent des passages du Prince de Sang Mêlé absents de l’adaptation cinéma, mais ont chacune un rapport à l’œuvre originale bien différent. Fantine La première partie du film repose sur le chapitre 10 du livre 6, au moment où Bob Ogden, le chef de la Brigade de police magique, rend visite à la famille Gaunt pour convoquer Morfin qui a lancé un maléfice à Tom Jedusor. A quelques détails près, cette scène est très proche du livre. Ces quelques détails que j’ai pu relever sont le choix de la maison des Gaunt et l’apparence de ses occupants en effet la bâtisse imposante de la maison des Gaunt, ressemble plus à un manoir mal entretenu qu’à une cabane délabrée ; Elvis Marvolo Gaunt est plus classe et mesuré que dans les livres. Le personnage a été réinterprété pour être un personnage au sang froid, digne représentant de la lignée de Serpentard, interprétation que j’ai tout de même bien appréciée. Merope a également été réinterprétée, beaucoup plus jolie et envoûtante que dans le livre, elle semble magnétiser Tom Jedusor en lui donnant le philtre d’amour. Elle reste tout de même une sorcière maladroite et peu douée, soumise à sa famille. En revanche, le fils Morfin est le personnage se rapprochant le plus des livres. L’interprétation des trois membres de la famille m’a plu, j’ai trouvé qu’ils étaient tous très crédibles. J’ai vraiment apprécié la première partie du film, surtout que cette scène manquait vraiment dans la franchise, c’était un plaisir de la voir en film. ©Nathalie Richard / Efficius pour The House of Gaunt – Lord Voldemort Origins – An unofficial fanfilm Bdragon Cette première partie du fanfilm est la plus réussie, tant par son écriture que la retranscription de l’ambiance malsaine de la scène à l’écran. Un vrai soin du détail est apporté dans l’interprétation et le scénario pour nous angoisser tout au long et se demander si ce pauvre Bob s’en sortira, même si l’on connaît déjà l’issue de cette rencontre et de l’affrontement qui s’en suivra. Les quelques prises de liberté avec l’œuvre originale servent ici la narration, en nous faisant plonger dans cet univers poisseux et sirupeux qu’est celui de la demeure des Gaunt. Une belle vision et mise en scène de ce passage non traité par les films de la saga. Mention spéciale car pour une fois un film tourné en anglais comporte une scène parlée en français qui ne fait pas tâche ! Et puis quel plaisir de voir Frédéric Souterelle rejoindre le monde magique et y interpréter Bob Ogden. Ce grand comédien de doublage jouant notamment Kratos dans God of War est le personnage central à mes yeux de ce fanfilm et est remarquablement bien interprété. Mais quel flemmard de transplaner de 5 mètres pour arriver devant la porte ! Marjolaine J’ai aussi été marqué par l’ambiance malsaine qui suintait de ce chapitre et qui est très bien rendue dans cette première partie. Autre personnage essentiel de cette scène Bob Ogden. J’ai toujours apprécié ce personnage dans le livre, et j’ai aimé l’interprétation de l’acteur malgré un accent britannique pas toujours parfait, ferme et assez charismatique. Merope était sûrement le personnage le plus difficile à rendre, et c’est celui qui m’a le moins convaincu, à cause surtout des petites scènes de transitions qui manquent de cohérence avec ce que l’on sait du personnage la rencontre avec Tom, et sa réaction à son départ. Mais c’était surtout l’interprétation de Morfin, parfaitement dérangé, que je retiens de cette première partie. Fantine La deuxième partie en revanche est plus libre par rapport aux livres. Nous retrouvons Tom Jedusor Junior en pleine prise de pouvoir et création des Horcruxes. Lors d’un bal masqué dans un magnifique château, Tom rencontre Hepzibah Smith qui lui montre la coupe de Poufsouffle. Tom l’assassine et transforme la coupe en Horcruxe. Bob Ogden intervient et tente d’arrêter Tom, et pendant leur bataille, on a des flash forward sur la mort de Lily et James. J’ai trouvé ce passage un peu bancal d’un point de vue scénaristique, alors que la première partie prenait son temps pour installer une ambiance et racontait juste un bout d’un chapitre d’un livre, la deuxième semble être un mashup de scènes, à la fois des livres et d’invention, avec une réinterprétation totale des passages du livres. J’ai trouvé cela dommage, et j’aurais préféré que le film se concentre sur la famille Gaunt. Marjolaine Tout comme Fantine, j’ai beaucoup plus de réserve sur l’écriture de cette deuxième partie. Bien que le cadre somptueux permet des plans très esthétiques et un côté baroque décadent, qui aurait très bien collé à une ambiance de réunion de Sangs-Purs, transposer les échanges avec Hepzibah Smith dans ce contexte m’a paru artificiel. Il s’agissait sûrement d’insister sur des liens avec la première partie, à travers le médaillon, tout en jouant sur un contraste entre l’ambiance décrépie de la Maison des Gaunt et le luxe du château. Mais sans s’éloigner de la source, on pouvait s’attendre à tant d’autres morceaux de l’histoire de Voldemort son abandon, l’assassinat de son père, son retour dans la maison des Gaunt… que je reste sur ma faim. Bdragon À mes yeux, cette deuxième partie ne sert pas à grand-chose, si ce n’est à faire hérisser les poils des fans. J’aurais aimé découvrir, comme le souligne Marjolaine, un autre passage non adapté du livre lié à Voldemort, plutôt que cette scène déséquilibrée et très artificielle, tant dans sa narration que dans sa mise en scène. À trop s’éloigner de l’œuvre, on perd en cohérence et en logique. On sent davantage une envie de s’amuser avec des passages du film en les ré-interprétant, et je trouve dommage que la 1ère partie ne réponde pas davantage à la seconde sur ses différentes thématiques. Si Maxence Danet-Fauvel irradie d’un charisme et d’une forte présence à l’écran, je trouve dommage qu’il ne soit pas longuement exploité dans le film… Une qualité technique et visuelle professionnelle Des effets spéciaux dignes d’un blockbuster ©Nathalie Richard / Efficius pour The House of Gaunt – Lord Voldemort Origins – An unofficial fanfilm Drearan Si le scénario a tendance à être trop et en même temps pas assez proche de l’œuvre d’origine, il n’y a rien à redire sur la qualité des effets spéciaux et la mise en scène. Malgré beaucoup d’incohérences, on ne peut que saluer son esthétique sombre et travaillée, qui s’ancre parfaitement dans la lignée des long-métrages de la franchise. Marjolaine si l’équipe qui a travaillé sur ce fanfilm était bénévole, ils s’agissaient tout de même de professionnels du métier, étudiants ou confirmés, et le savoir-faire technique se voit à l’image, pour atteindre une qualité rarement vue dans des fanfilms. Les effets spéciaux sont presque impeccables, j’ai notamment été bluffée par les certes inutiles mais très réussis petits lutins de Cornouailles que l’on aperçoit dans l’un des premiers plans. Le travail des lumières est aussi particulièrement soigné, permettant de bien mettre en valeur leurs deux décors principaux la maison des Gaunt, soigneusement recréée en studio, et l’exceptionnelle opportunité de filmer dans le château de Fontainebleau. Bdragon La réalisation, la mise en scène et les effets spéciaux sont les points forts du film. On sent une passion pour le cinéma devant et derrière la caméra. Ça se voit notamment dans le travail sur les plans de coupe, sur l’utilisation des décors, la lumière, et également la musique. Entre hommages et références, l’équipe cherche à inclure l’œuvre dans un univers connu, mais s’intégrant dans la pop culture au sens large du terme. L’entrée de Voldemort dans le château s’accompagne notamment d’un thème rappelant celui de Dark Vador dans la saga Star Wars, tandis que le bal masqué auquel on assiste n’est pas sans rappeler celui d’Eyes Wide Shut, de Stanley Kubrick, dans sa force et les costumes montrés. Si certains effets, en comparaison des autres, paraissent “ratés” la fin de la 1ère bataille et ce tourbillon notamment, on ne peut qu’applaudir le travail effectué et le sens du détail apporté tout au long du métrage. Un projet qui invite à suivre son réalisateur Joris Faucon Grimaud, dans ses futurs projets. Des scènes de combats impressionnantes ©Nathalie Richard / Efficius pour The House of Gaunt – Lord Voldemort Origins – An unofficial fanfilm Fantine Les scènes de combat sont très impressionnantes, d’une qualité comparable à celle des films de Warner. J’aurais aimé que les effets soient plus personnels, plutôt que de revoir les effets des films. Marjolaine Je regrette bien sûr aussi la reprise de l’effet abusivement utilisé dans les films du rayon magique reliant les baguettes qui, rappelons-le, n’arrive qu’en cas de Priori Incantem entre deux baguettes jumelles, du moins dans les livres. Mais à part ça, j’ai apprécié les chorégraphies des combats, notamment le premier, opposant les aurors aux Gaunt, qui donne l’occasion à un peu plus d’originalité dans la mise en scène. Mais voir Voldemort en action reste jouissif, et à travers la chorégraphie, l’acteur incarne la violence du personnage avec une belle intensité. Drearan Même si nous sommes habitués des scènes de duels magiques depuis de nombreuses années maintenant, il faut avouer que j’ai été agréablement surprise par les qualités techniques et visuelles de ces derniers. Mention spéciale à celui de Voldemort qui m’a fascinée tant par sa chorégraphie que par sa cruauté. Bdragon Tout comme dans sa réalisation, on sent que les combats du film s’inspirent d’autres univers et films. Le 1er rend notamment des hommages appuyés à la saga Star Wars le fait que l’un des protagonistes essaye d’attirer sa baguette tombée au sol en tendant la main vers elle, le combat à deux baguettes qui renvoie immédiatement aux sabres laser, tout comme la roulade sur le dos quelques minutes plus tard. Cela amène un peu de fraîcheur et de nouveauté dans les combats très statiques que l’on connaît jusqu’ici dans la saga, mais n’empêche pas de faire un peu grincer des dents, surtout sur la deuxième partie. Elle prend là davantage la forme d’un combat à l’arme à feu, rappelant tout à la fois des films de vampires avec ce tourbillon au plafond, V pour Vendetta avec sa vitesse et précision dans les gestuelles, ou encore Iron-Man et cette capacité de Voldemort à absorber des sorts pour les renvoyer avec sa main. Une grande liberté donc dans la chorégraphie et la logique des combats, qui même si elle intéressante à regarder, termine en redite avec le Priori Incantatem, utilisé plus pour son esthétique que dans une vraie démarche scénaristique. Conclusion Fantine Malgré les accents anglais différents, tous les acteurs étaient très crédibles, j’ai vraiment apprécié de voir enfin la famille Gaunt. J’ai trouvé le casting bien choisi. Les costumes sont incroyables, les perruques et le maquillage, tout était d’une qualité professionnelle. La première partie du film est impeccable, avec une ambiance maîtrisée. La seconde partie à mon sens n’a pas autant d’intérêt que la première et fait chuter la qualité globale du fanfilm. Malgré les recherches visuelles, comme le château ou les masques, j’aurais vraiment aimé un film complet sur la famille Gaunt, complètement délaissée dans la saga. Il n’empêche que cette production reste impressionnante et d’une qualité visuelle qui ne décevra pas les attentes. Marjolaine J’ai plus de réserves sur les accents anglais, qui m’ont fait tiquer quelques fois… Il faut dire que je les attendais au tournant sur ce point, car même si je comprends le choix de tourner en anglais pour toucher un plus large public international, j’aurais préféré que les acteurs francophones puissent jouer dans leur langues et être ainsi plus à l’aise. Mais ils s’en sortent quand même tous assez bien avec une post-synchro parfois détectable, mais dans l’ensemble passable, et j’ai aussi beaucoup apprécié le casting, qui colle très bien physiquement et dans leur interprétation à l’image que je pouvais avoir en tête à part Hepzibah, qui n’a pas grand chose à voir avec sa description dans le livre. J’ai été impressionnée par la qualité visuelle générale du film, qu’on a pu d’autant plus apprécier sur grand écran. L’écriture m’a par contre laissée un peu frustrée voir perplexe, en particulier sur la deuxième partie. Il était quasi impossible pour ce fanfilm de répondre à toutes les attentes qui l’entouraient, mais on ne peut que saluer l’ambition et l’énergie qui ont été déployées. Drearan La trop grande diversité des accents et la volonté de vouloir coller au plus proche des livres sans toutefois y parvenir, restent les gros points noirs de cette adaptation. Cependant, un fan moins pointilleux concernant le déroulement des évènements de la saga, pourra aisément se laisser porter par l’histoire, grâce à son esthétisme très travaillée et son casting de qualité. Malgré ses quelques défauts scénaristiques, The House of Gaunt s’en tire relativement bien, mais beaucoup de pistes restent encore à explorer pour espérer un fanfilm digne de ce nom. ©Thomas Rokita pour The House of Gaunt – Lord Voldemort Origins – An unofficial fanfilm Moon Je n’avais jusque-là jamais souhaité voir de fanfilm. Peur d’être déçue, peur d’être gênée par l’amateurisme. Mais cette fois, poussée par l’engouement autour de The House of Gaunt, je me suis laissée tenter. Et j’ai été assez bluffée, il faut le dire. D’abord par la qualité technique de la réalisation, mais aussi par l’interprétation des acteurs. Il y a du rythme, des effets visuels, une bande sonore à donner du frisson. Bref, j’en ai pris plein les yeux. Et cela est un vrai point fort. Je pense que cette production ne peut laisser personne indifférent, du moins si on parvient à se détacher de ses propres attentes quant à ce qu’on espérait voir à l’écran avec un tel titre. Si The House of Gaunt est votre premier fanfilm comme pour moi, c’est je pense un très bon début, qui aura au moins le mérite de donner l’envie d’aller voir ce qui se fait ailleurs ! En revanche, je rejoins mes camarades dans le fait qu’avec la liberté qu’offre une telle production, beaucoup de pistes sont restées inexploitées. Ce qui peut rendre ce visionnage frustrant, il est vrai. Mais Harry Potter n’a jamais mis tout le monde d’accord, il en va de même pour les fanfilms de la saga ! Bdragon Je suis le projet depuis plusieurs années maintenant, en participant notamment à deux des trois crownfunding organisés au cours de sa production et de sa post-production. Cette idée de s’intéresser à la famille des Gaunt et leur histoire me paraissait séduisante sur le papier, tandis que son traitement se révélait de haute qualité au fur et à mesure de la production. J’ai donc découvert le film avec plaisir, et j’en garderai un bon souvenir, même si tout n’est pas maîtrisé à mes yeux le concernant. Comme expliqué plus haut, le déséquilibre entre les deux parties joue en sa défaveur, et les incohérences, facilités et illogismes par rapport à l’histoire originale m’ont fait peu à peu sortir du film. Il n’en reste pas moins d’excellente facture, et un très joli projet qui montre, s’il fallait encore le faire, notre savoir-faire francophone en matière de fanfilms Harry Potter ! Et vous, qu’avez pensé de ce fanfilm tant attendu ? Cliquez ICI pour visionner le film, jusqu’au 17 les sous-titres en cliquant sur cc » en bas de la vidéo. Et merci à toute l’équipe du film nous avoir invités à cette dernière avant-première !
Après quatre ans de travail et plusieurs campagnes de financement participatif, The House of Gaunt Lord Voldemort Origins est enfin là . Comme son nom l'indique, ce court-métrage de fans fort bien réalisé se propose de revenir sur les débuts du célèbre adversaire d'Harry Potter. Grâce à presque 100 participants bénévoles et un budget de 62 000 euros, le projet se révèle fort convaincant. Retournez dans le passé, là où tout a commencé » Réalisé par le Français Joris Faucon Grimaud, The House of Gaunt Lord Voldemort Origins était attendu de pied ferme par les fans et les backers du projet. Annoncé en 2017 et passé par plusieurs campagnes de financement participatif, ce court-métrage de fans pour les fans, non affilié à Warner Bros. ou Rowling, est aujourd'hui disponible gratuitement . Durant 30 minutes, l'œuvre chapeautée par environ 80 bénévoles, aussi bien devant que derrière la caméra, revient sur les débuts de Voldemort/Tom Jedusor avant qu'il ne croise la route du sorcier à la cicatrice. Les adeptes de la saga reconnaitront des noms comme Elvis Gaunt ou Morfin Gaunt, puisque l'œuvre s'inspire des romans, tandis qu'un joli travail sur les décors, costumes et effets spéciaux a été fourni.
The House of Gaunt Lord Voldemort Origins est désormais disponible gratuitement en ligne. L’aboutissement d’un projet de passionnés de Harry Potter immensément audacieux. On a un Harry Potter made in France !», sourit Frédéric Souterelle de The House of Gaunt Lord Voldemort Origins au Max Linder Panorama. La salle parisienne comble, qui projetait l’avant-première du fan-film imaginé par Joris Faucon Grimaud, était certainement le plus fabuleux témoin de la réussite d’un projet à l’ambition folle, impulsé par un collectif de passionnés de la saga culte. Autour de lui, le réalisateur a réuni une équipe de bénévoles, chargée d’élever l’univers déjà abouti des fan-films dédiés à Harry Potter encore plus haut. L’esprit Harry Potter prolongé par sa communauté En découle 33 minutes d’un court-métrage qui plonge au coeur de la maison des Gaunt, lignée de Lord Voldemort. Le projet se calque sur les romans et précisément Le Prince de Sang-Mêlé. Crânement, on pourrait même dire qu’il cherche à panser les défauts régulièrement reprochés au sixième film celui d’exclure trop largement les flash-backs qui narrent l’enfance et la naissance du Seigneur des Ténèbres. Il se découpe en deux parties, une montrant comment Mérope Gaunt, mère de Tom Jédusor, a rencontré son père moldu à l’aide d’un philtre d’amour. L’autre, des années plus tard, montrant les prémices de l’ambition de Voldemort, alors à la quête des horcruxes. Soyons clair The House of Gaunt est une prouesse de réalisation. Financé par des donateurs, le projet offre une plongée à la fois nostalgique et charismatique au coeur du monde des sorciers. On y retrouve cette esthétique sombre et cette ambiance qui sent bon l’Angleterre du début du siècle dernier. Les costumes sont fidèles à la saga, tout comme une bande-originale éblouissante qui accompagne les acteurs. Mention spéciale aux effets spéciaux, des sorts aux vols en balai qui font souvent et malheureusement défaut aux fan-films. Ici, le court-métrage s’offre même le luxe d’incorporer deux petits Lutin de Cornouaille dès son introduction. Magnifique. The House of Gaunt, c’est la magie de Harry Potter, prolongée par l’esprit de passionnés talentueux et généreux. Trois années auront été nécessaires à Joris Faucon Grimaud et son équipe pour venir à bout de ce projet fantastique. De A à Z, la communauté Harry Potter, qu’elle soit derrière l’écran à propager et financer le fan-film, ou devant en participant à sa création, a une nouvelle fois prouvé son implication au service d’une oeuvre ô combien présente au coeur de la pop-culture. Un projet inspirant qui plus est français, cocorico, qui n’attend désormais qu’à se répandre à travers le monde.
the house of gaunt film complet